LA LUMIÈRE FAIT SON CHEMIN (2021)


Ce magnifique livre est mon plus récent recueil de poésie.

 

N’hésitez pas à communiquer avec moi à perron.jean@hotmail.com pour le commander. Je me ferai un plaisir d’y ajouter une dédicace si vous en voulez une.

 

À l’affût de ce qui passe souvent inaperçu tout en se révélant essentiel, La lumière fait son chemin est une suite de courts textes que j’ai longtemps mûris et peaufinés. J’ai tour à tour étoffé et élagué ce collage d’instants de vie quotidienne, d’observations, de pensées et d’émotions, en portant une attention particulière à l’ensemble afin de trouver la meilleure place pour chaque fragment dans le recueil et sur chaque page. Le recueil au complet peut également être lu comme un seul poème.

 

Le fil conducteur, de la fonte des glaces à la première neige d’un autre hiver, est le passage des saisons et des variations du temps qu’il fait, dans l’alternance du jour et de la nuit ; au cœur de ce qui commence comme de ce qui n’est plus et de ce qui se perpétue.


Tendre l'oreille (album 2021)

 

TENDRE L’OREILLE 

tendre l’oreille 
aux réponses que souffle le vent 
aux voix des herbes et du ciel 
aux nuances infinies de l’eau 
à la pluie dans l’air du temps 

tendre l’oreille 
à un pas en joie 
là tout près 
à travers les bruits de moteurs 

tendre l’oreille 
quand le soir roule en éclats de musique 
à un rire de rose sans épine 
au monde qui vit et à la vie qui passe 

tendre l’oreille 
à l’arrosage des fleurs dans l’obscurité 
au rythme haletant d’un cœur d’enfant 
au chant de la terre et de la nuit 

(album publié le 29 juin 2021, 
 entièrement conçu, produit, enregistré et mixé par Jean Perron)

Et je déambulais une fois de plus (album)

 

 « j’ai un pied dans la douceur de vivre 
    et l’autre qui saigne avec le monde » 

Pour terminer l’année 2020, j’ai regroupé huit de mes compositions, dont sept parmi celles qui ont été publiées au fil des saisons depuis le printemps dernier. La pièce inédite qui ouvre l’album, « Juste pour effrayer le danger », tire son titre d’un conseil souvent donné aux adeptes de randonnées en forêt. On recommande de se mettre à chanter si on croise un animal qui peut devenir dangereux, en particulier un ours. Mais les pires dangers ne sont pas nécessairement en forêt, ils sont partout et sont même devenus plus angoissants dans nos villes en état d’alerte sanitaire. Chanter en marchant ne protège sans doute pas de grand-chose, mais c’est une bonne consigne à suivre pour au moins rester de bonne humeur.

Comme souvent dans ma poésie, il est beaucoup question, dans ce recueil de compositions, de « la marche des jours », de faire « quelques pas ensemble », et même de se promener « sur la portée des trottoirs et des astres ». Je crois donc que le titre « Et je déambulais une fois de plus » reflète bien cet ensemble de textes qui peuvent être écoutés en continu avec la musique qui les accompagne ou lus et écoutés séparément en cliquant sur chaque titre. 

C’est un court album d’une durée totale d’un peu moins d’une demi-heure. J’ai utilisé plus d’une douzaine de guitares, y compris trois basses, et ici et là des claviers, de l’harmonica, du mélodica, du glockenspiel, du djembé et, bien sûr, ma voix. Je joue et enregistre tout moi-même, piste par piste, comme un peintre crée une toile par touches successives. J’ajoute aussi une photo à chacune des compositions que je mets en ligne. Tous les textes et toutes les musiques sur cet album sont de moi, sauf le texte de « Les Pâques à New York », composé d’extraits que j’ai choisis dans le célèbre poème de Blaise Cendrars qui porte ce titre. 

Bonne promenade dans mes mots et ma musique!

Dans le concert infini de la vie (album)




Pour la Journée mondiale de la poésie, voici mon tout nouvel album de poèmes et de musique.

Je peaufine cet album chez moi depuis plusieurs mois avec l’idée de le sortir à cette date du 21 mars qui marie la poésie et le printemps. Au cours des derniers jours, je me suis demandé si je devrais en reporter la sortie comme tant de publications et de spectacles sont remis à plus tard. Mais c’est une œuvre entièrement numérique, conçue pour le cyberespace, donc disponible partout et en tout temps, sans que personne, où que ce soit sur la planète, n’ait besoin de sortir de chez soi pour la découvrir. Oui, mais le contenu est-il vraiment approprié dans le contexte actuel? Je regarde le premier titre : « Résilience ». Le deuxième : « Surgissement ». Oui, ça devrait aller.

je m’efforce d’être avant tout ce langage
pour tisser des liens entre tout ce qui vit

D’une durée totale d’environ 36 minutes, l’album est composé de 11 nouveaux morceaux, bien que trois des textes soient extraits de mes recueils Dans le courant de l’après-midi, Instantanés et Le vent dans les arbres.

Si le téléchargement demande une modique somme, c’est purement optionnel pour avoir accès à l’album qui peut être écouté au complet gratuitement en cliquant sur l’image. Il est aussi possible de sélectionner des morceaux individuels, d’en lire le texte à l’écran et de découvrir quels instruments de musique j’ai utilisés. Chaque morceau est aussi accompagné d’une photo que j’ai prise.

Je souhaite de tout cœur que l’écoute de cet album vous fasse du bien. C’est tout ce qui importe.

le temps connaît le chemin vers la vie
quand tout semble mort fini oublié
vivre c’est un peu apprendre à guérir
de la démesure de nos désirs




BRAISES

J’ai décidé de regrouper les compositions que j’ai publiées au cours des derniers mois sur un album qui porte le titre de l’une d’elles : Braises.

La création, c’est toujours ce qui couve sous la cendre, ce qui peut reprendre vie si on y ajoute du nouveau. Ainsi, aux compositions mises en ligne de juin à septembre 2019, j’ai ajouté trois nouveautés.

Parfois il suffit d’un geste qui dit « reste, petit reste de feu plus discret et plus fort que les grandes flammes ». Deux des compositions que j’ai partagées sur Facebook récemment figuraient déjà sur mon site Bandcamp, mais étaient de celles qui n’avaient pas été intégrées à un album. Elles font maintenant partie de Braises.

Un de mes plus beaux textes, avec ou sans musique, mais accompagné ici d’une mes plus belles musiques, Braises ouvre l’album. Il est suivi de Sensation, ma version de ce texte de huit vers d’Arthur Rimbaud (1854-1891) qui est un des plus célèbres poèmes de langue française, et de L’été revient, une autre collaboration avec un jeune poète depuis longtemps décédé puisque j’ai mis en musique un texte de Jean-Louis Guay (1903-1932) qui chante l’été québécois avec des mots d’une justesse intemporelle. Viennent ensuite Chanson de la plus longue journée, mon hommage au solstice d’été; Apprivoiser, une façon de faire face à la noirceur du monde armé de la beauté des nuits d’été; et L’ombre et la proie, où la transparence et le vent de ces nuits d’été révèlent que la terre ne demande qu’à revivre.

Dans les derniers jours de l’été 2019, il m’a pris l’envie de mettre en musique un autre poème de Rimbaud, Bonne pensée du matin, où il est question de porter à boire à des travailleurs de la construction par une journée de canicule. Le chant du cristal est une composition instrumentale très éthérée à laquelle j’ai fusionné deux passages d’Aurélia ou le Rêve et la Vie, la dernière œuvre de Gérard de Nerval en 1855. Poète visionnaire, Nerval semble avoir entrevu en son temps le mode de communication du vingt-et-unième siècle : « c’est un réseau transparent qui couvre le monde ». La guitare de Reverdy regroupe trois extraits de « La guitare endormie », un recueil que Pierre Reverdy a publié en 1919 et dont je fête ainsi le centenaire sur une musique de mon cru composée de trois guitares auxquelles j’ai ajouté la magie du glockenspiel.

En terminant, À la charnière des fièvres, de mon recueil Ce qui bat plus fort que la peur publié aux Écrits des Forges en 1991, renaît de ses cendres dans la chaleur des guitares et c’est comme si je venais tout juste de l’écrire en ce début d’automne alors que « les feux s’accordent au souffle des ténèbres ».

On peut écouter gratuitement l’album au complet ou sélectionner des morceaux. Seul le téléchargement est payant.
 


ÊTRE AU MONDE

La création comme mode de vie. L’énergie de l’enfance. La magie des meilleurs moments.

J’avais encore une fois beaucoup de matériel, mais je me suis astreint à ne garder que l’essentiel de quelques thèmes musicaux et littéraires qui expriment la présence au monde comme je l’entends. Je tenais aussi à ne pas dépasser une vingtaine de minutes réparties sur une demi-douzaine de morceaux.

Les six nouvelles compositions de ce mini-album ont chacune pour point de départ une musique que j’ai composée sur une guitare Fender American Professional Stratocaster branchée dans un amplificateur Fender 57 Custom Champ. Ces petites merveilles qui viennent de la Californie produisent un son à la fois cristallin et chaleureux.

J’ai ensuite enregistré d’autres pistes de guitares (y compris de la basse) et ma voix pour chacune des compositions, mais je voulais que l’ensemble garde le côté à la fois vibrant et dépouillé de la piste initiale. En somme, c’est de la poésie et des guitares qui chantent sur des accords de base et un minimum d’arrangements, mais avec beaucoup de rythme.

Des photos d’objets

D’une paire de chaussures que je porte tous les jours à une vieille radio ayant appartenu à mon arrière-grand-père, en passant par des objets directement liés à mon travail quotidien de création, chacune des compositions est accompagnée d’une photo qui ajoute une dimension contemplative à découvrir en cliquant sur le titre. La photo qui sert de couverture à l’album est sûrement la plus mystérieuse, comme être au monde demeure une énigme.

Au sujet des textes

1) Marcher libre

D’une suite poétique inédite, j’ai réuni trois extraits qui parlent de marcher au fil des saisons en regardant le monde comme si on le voyait pour la première fois.

2) Être au monde

Prendre le temps de regarder et écouter la tombée de la nuit après une des premières belles journées de printemps.

3) Creuser

Poème directement inspiré de la joie de jouer dans le sable avec un jeune enfant au printemps. Pour se rappeler aussi que le verbe creuser n’est pas nécessairement synonyme de s’enfoncer. Creuser permet d’écrire la suite du monde autant dans les étapes importantes de la vie que dans les petits gestes en apparence anodins.

4) En lieu sûr

Que faire des instants les plus merveilleux? Dans quoi garder en vie les belles petites choses qui arrivent et se perdent? En lieu sûr dans des notes de guitare.

5) Là où je suis

Là où j’ai mis ensemble trois extraits de mon recueil « Un radeau au soleil » publié il y a 25 ans (en 1994) aux Écrits des Forges. Là où je suis, c’est comme si j’avais écrit aujourd’hui même ces textes en restant à l’affût du moindre miracle, en franchissant le seuil de l’invisible et en laissant mon cœur battre avec ceux de tous ces gens qui veulent vivre au-delà de ce qu’ils font pour gagner leur vie.

6) Toute voix

On s’arrête tellement à ce qui les rend tous pareils que souvent on ne prête pas attention à ce qui rend uniques tous les êtres humains dans leur façon de s’exprimer et leur besoin d’être écoutés.
 

Voici un collage d'images filmées et de photos accompagnées surtout de guitares, mais aussi d'un peu de clavier effet « cordes » et de ma voix, mais sans paroles. C’est la version instrumentale de la pièce qui donne son nom à mon album Sur le chemin étoilé. Pour écouter la version avec paroles de l'album, c'est ici.

Ce chemin étoilé, on le prend sur des routes asphaltées, ponctuées de lueurs au crépuscule ou bordées de couleurs saisonnières aux courbes séculaires. Il nous appelle aussi sur l'eau, cette route des explorateurs et des origines. Il est parfois dans l'air, les beaux soirs d'été, en gouttes projetées comme autant d’instants qui passent quand le temps suspend son vol juste pour danser comme un moment de grâce dans son écoulement.

Ce chemin étoilé, c'est un rayon de soleil qui étincelle entre les feuillages secoués par le vent et dans les notes d'une mélodie. On le retrouve dans toutes les petites lumières qui s'allument à l'horizon, quand s'entremêlent les feux de détresse, les signaux d'alarme, les clignotants qui indiquent des directions à prendre, les pépites d'espoir, quelques éclats de mystère et la simple beauté de tout ce fourmillement de vie.

Sur le chemin étoilé (nouvel album)



Le 25 octobre 2018

Récemment, j’ai parcouru les routes de l’automne et, tout en prenant le temps de savourer cette magnifique saison en marchant dans les rues et les sentiers, j’ai beaucoup travaillé à mettre la dernière main au nouvel album que voici : Sur le chemin étoilé.

Qu’est-ce que c’est? Avant tout de la musique et des mots… ou l’inverse.

J’ai un style plutôt qu’un genre et c’est un style éclectique. Sur cet album, les lignes de basse très rythmées et les guitares électriques saturées sont à l’avant-plan. Mais à cette trame de fond, j’ajoute souvent d’autres guitares aux sonorités très variées. Je joue aussi un peu de piano, du clavier avec des effets d’orgue et de cordes, de l’harmonica, du glockenspiel, du tambourin et du djembé.

Voici douze compositions inédites. Si elles ont toutes des paroles, seulement trois d’entre elles peuvent vraiment être qualifiées de chansons. Les autres sont plutôt hybrides. La plupart ont un texte en partie chanté et en partie parlé, ce qui est une autre façon de chanter.

Étant donné qu’en librairie l’espérance de vie d’un livre n’est en général que de quelques mois, il est important pour moi, dans mes projets multidisciplinaires, de combattre ce darwinisme commercial en donnant une autre vie à certains de mes textes publiés. C’est ce que j’ai fait encore une fois. Des extraits de mes recueils de poésie Rock Desperado, Parfums des rues et Un radeau au soleil défient le temps et la loi du marché sur cet album. J’ai aussi assemblé librement des extraits de L’homme approximatif de Tristan Tzara pour former un texte à dire sur une composition à la fois très rock et un peu planante que j’ai intitulée L’alphabet des pas – des mots bien sûr extraits du livre.

Venez faire un tour sur le chemin étoilé et découvrez aussi mon hommage au musicien et inventeur Les Paul et bien d’autres choses encore, le tout en écoute gratuite. Seuls les téléchargements sont payants et sont entièrement optionnels.

Vous pouvez écouter cet album au complet en continu en cliquant sur le premier titre. Mais ce qui est peut-être plus intéressant, c’est de cliquer séparément sur chaque titre et, tout en l’écoutant, de regarder la photo qui l'accompagne, lire mon commentaire sur la génèse de la composition, ainsi que les paroles, et découvrir quels instruments j’ai utilisés.

Si vous aimez ce que vous écoutez, vous pouvez aussi découvrir, tout aussi gratuitement, l’ensemble de mes publications sur Bandcamp.
LES BEAUX JOURS (album)

Les voyez-vous parfois passer, les beaux jours, ou disparaissent-ils trop vite dans le rétroviseur?



Quelques accords de guitare. Un air de fête resté sans titre. Ça m’est venu spontanément un jour ou un soir de printemps, il y a bien longtemps. Comme une plante vivace, c’est de retour sous mes doigts à tous les mois de mai. Ainsi est né ce projet.

La composition qui montait en moi chaque printemps comme l’éclosion des premières feuilles dans les arbres, j’ai fini par l’intituler « Les beaux jours », car c’est bien ce qu’elle représente et exprime. J’ai enregistré une première version au printemps 2015, en ajoutant une intro de guitare classique et des lignes mélodiques aux quelques accords. En toute simplicité, j’ai utilisé trois guitares, ainsi que le mélodica et le djembé. Il n’y a pas de paroles. La plupart des compositions de l’album ont toutefois des textes et ma voix pour les dire ou les chanter. Les autres pièces instrumentales sont l’entraînante « Avec des lunettes de soleil » et la nouvelle version de la pièce titre qui ouvre l’album et contient trois guitares différentes de celles de la première version, ainsi que de la basse, de l’harmonica et du tambourin.

Huit pièces déjà parues et six inédites sont réunies ici. Quatre des compositions de cet album ont des textes tirés de mes recueils de poésie « Ce qui bat plus fort que la peur » et « Courant de l’après-midi » publiés aux Écrits des Forges et « Les allées lueurs », publié aux Éditions L'Interligne. Comme l’air des beaux jours, ces textes reviennent, revivent et se prolongent dans une nouvelle création. J’ai aussi inclus des poèmes de Saint-Denys Garneau et Victor Hugo que j’ai mis en musique en 2015 et 2017, respectivement. De plus, pour la première fois, un des textes accompagnés de ma musique est un conte, « Le tracteur », inspiré directement d'une histoire familiale vécue.

Bien sûr, les beaux jours ne règlent pas les problèmes dans le monde. Mais nous avons besoin de leur énergie. Si on les remarque davantage au printemps, il y en a à toutes les saisons. En fait, les beaux jours sont avant tout en nous, dans ce que nous avons de meilleur, dans ce qui fait éclore notre humanité.

GENRE MUSICAL

Je ne mets pas vraiment d’étiquette sur ma musique. Je me situe dans les courants de rock alternatif, au sens le plus large. Disons que j’ai mon style plutôt qu’un genre et c’est un style éclectique. Sur cet album, les tonalités chaudes et festives, dans l’esprit des beaux jours, sont très présentes. C’est une musique axée sur la mélodie, mais avec des textes plus souvent dits que chantés. C’est aussi une musique rythmée, mais avec pour seules percussions, ici et là, un peu de djembé, de glockenspiel et de tambourin, sauf sur « Touche universelle », où j’ai eu recours à des percussions électroniques pour créer un son de batterie.

CONCEPTION DE L’ALBUM


Je l'ai entièrement créé moi-même en numérique, y compris les photos. Je joue tous les instruments, principalement des guitares, mais aussi du piano, du clavier avec des effets d’orgue, de cordes et de choeur, du glockenspiel, du djembé, du tambourin, du mélodica et de l’harmonica.

Mon approche de l’enregistrement multipiste s’apparente à celle d’un peintre qui crée une toile. Les sons, les notes, les rythmes et les mélodies deviennent des couleurs, des formes, des motifs et des lignes. J’enregistre les instruments un à la fois directement dans mon ordinateur à partir d’un micro muni d’un câble USB en me servant d’un logiciel de mixage, selon la méthode appelée « overdub », c’est-à-dire que je superpose les pistes. Les arrangements et le mixage font aussi partie du travail de création.

ÉCOUTE GRATUITE (L’ALBUM AU COMPLET OU UN TITRE À LA FOIS)

On peut écouter l’album « Les beaux jours » au complet en continu en cliquant sur le premier titre. On peut aussi cliquer séparément sur chaque titre et, tout en l’écoutant, regarder la photo qui l'accompagne, découvrir quels instruments j’ai utilisés et lire les paroles quand il y en a.

L'écoute est entièrement gratuite, mais le téléchargement de l'album au complet coûte la modique somme de 10 $. Si on ne veut pas télécharger l'album au complet, il est possible de se procurer des titres individuels pour seulement 1 $ chacun.